Nappes alluviales : nappes d'eau dont l'aquifère est constitué par des alluvions déposées par un fleuve. Celle-ci est libre en général et en relation avec un cours d’eau (ex : nappe alluviale de la Moselle).
Nappes libres : communiquent avec la surface car une couche perméable les recouvre ; les pores de la roche sont partiellement remplis d’eau, le sol n’est pas saturé et les eaux de pluies peuvent imprégner la nappe sur toute sa surface. Son niveau monte ou baisse en fonction des précipitations. Elle se renouvelle rapidement. Les nappes phréatiques appartiennent à cette catégorie. (Définition Agence de l’eau & ONEMA)
Nappes captives : sont recouvertes par au moins une couche géologique imperméable qui confine l’eau. Sous pression, celle-ci peut jaillir dans des forages dits artésiens. Les nappes captives sont souvent profondes, quelques centaines de mètres voire plus. Elles se renouvellent plus lentement. (Définition Agence de l’eau & ONEMA)
Niveau piézométrique : niveau d’eau relevé dans un forage.